«Pour moi, la chirurgie plastique est comme un médicament!» Confesse la mère de Dallas qui ne peut pas arrêter de se changer



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Est-ce que j'ai l'air gros? Ai-je des vergetures? Est-ce que je suis belle? Si vous êtes une femme, voici quelques-unes des questions qui vous traversent l'esprit chaque jour, car ce n'est un secret pour personne les femmes sont malheureuses avec leurs corps. Ces insécurités avec notre corps ont conduit au développement de perceptions négatives personnelles, un problème qui crée du stress, une faible estime de soi et un manque de confiance.



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Pour Jenny Lee Burton, une mère de Dallas, une chirurgie plastique destinée à plaire à son ex-mari est devenue un cauchemar, car elle l'a transformée en toxicomane.





Avant la chirurgie, Jenny Lee était belle

En grandissant, Jenny Lee était une fille magnifique, car elle était grande, mince et avait un beau sourire qui ferait tomber n'importe qui en amour avec elle.



Cependant, au début de la vingtaine, les insécurités de Jenny Lee ont commencé lorsque son mari a commencé à faire des commentaires négatifs sur son apparence. Pour son mari, Jenny avait de petits seins et un gros nez, des traits qui la faisaient douter de sa propre apparence. Depuis qu'elle était amoureuse, Jenny a décidé de se rendre plus aimable en subissant une procédure pour changer de corps.

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Une chirurgie a conduit à 59 autres sans fin en vue

Lors de sa première opération, Jenny a eu les seins agrandis dans l'espoir de rendre son mari heureux. Cependant, malgré ses espoirs, l'opération n'a pas empêché son mari de faire de vilains commentaires négatifs sur son corps.

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Après la procédure et un divorce, la vie de Jenny s'est complètement transformée en entamant une mauvaise relation avec elle-même et son propre reflet.

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59 chirurgies plus tard, Jenny a toujours du mal à s'accepter car elle n'a pas encore réalisé son corps parfait. Au lieu de cela, elle est complètement obsédée par son apparence et est impuissante accro à la chirurgie plastique .

Récemment, Jenny a développé une fibromyalgie, une condition qui l'a amenée à prendre du poids, déclenchant des insécurités passées avec son propre corps. Sa nouvelle réalité l'a amenée à s'éloigner de ses amis et du monde, car elle ne se sent plus attirante ou désirable.

La dépendance à la chirurgie plastique est-elle une vraie maladie?

Aujourd'hui, alors que les femmes se sont tournées vers la chirurgie esthétique pour retrouver leur corps parfait, elles ont aussi souffert de dépendance, car une ou deux chirurgies ne semblent jamais suffire. Si vous trouvez que vous êtes toujours à la recherche de défauts dans votre corps et que vous recherchez une chirurgie plastique pour les changer, vous pouvez souffrir d'une dépendance à la chirurgie plastique et d'un trouble dysmorphique corporel (BDD).

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Bien qu'il n'y ait pas de remède pour la dépendance à la chirurgie plastique, la clé pour surmonter cette faiblesse est de vous accepter pour qui vous êtes, car après avoir commencé, vous pourriez le regrette pour toujours . Lorsque vous vous voyez de manière plus réaliste, vous commencerez à réaliser que vous êtes belle telle que vous êtes et que chaque partie de votre corps est parfaite.

L'espoir pour Jenny Lee est qu'avec le temps, elle apprendra à s'accepter car c'est le moyen le plus sûr de réaliser la vraie beauté. Puisant le soutien de sa famille aimante, Jenny apprendra progressivement que même si les apparences extérieures peuvent s'estomper, la vraie elle restera toujours, et elle est belle.

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